
Il y a une règle d’or en matière de chaussures : si tu les enlèves avec soulagement en fin de journée, c’est qu’elles ne sont pas bonnes pour la santé de tes pieds.
On a toutes déjà eu ce réflexe : choisir une paire canon mais un peu trop serrée en se disant: « ça va le faire ».
Sauf que souvent, ce qui se fait surtout, ce sont des douleurs, des rougeurs et des petits bobos qui à force peuvent devenir de vrais problèmes de santé.
Quand la mode écrase nos pieds
Une chaussure trop étroite, c’est comme te remettre avec ton ex : au début tu te dis que ça ira, puis tu finis par le regretter.
En comprimant les orteils et le dessus du pied, on fragilise la peau, les articulations et les ongles. Et là, bonjour les conséquences :
Hallux valgus : Un os qui dévie, une bosse qui se forme et des douleurs qui s’installent. Et une seule envie : marcher pieds nus à vie.
Cors et durillons : ces zones de peau épaisse qui apparaissent sous l’effet des frottements répétés. Ça fait mal et ça complique le confort au quotidien.
Ampoules : le classique des chaussures trop rigides ou trop serrées.
Un petit frottement au début, une brûlure ensuite, une peau qui se déchire et un calvaire pour marcher.
Ongles incarnés : tes orteils qui manquent d’espace poussent les ongles à s’enfoncer dans la peau. Résultat ? Inflammation, douleur et parfois infection.
Choisir des chaussures adaptées, c’est s’éviter bien des soucis
Si nos pieds pouvaient parler, ils nous supplieraient d’arrêter les chaussures trop serrées.
Pour éviter ces désagréments, voici quelques conseils à suivre :
Mesure la largeur de ton pied : un pied à l’aise, c’est un pied heureux (retrouve notre tuto sur notre page SOS Largeur).
Opte pour des matières souples et respirantes, comme le cuir.
Prends le temps d’essayer ta paire et ne te fie pas uniquement à la pointure.
Et si tu fais partie de la team pieds larges, bonne nouvelle : il existe des marques (comme ÏSIS CHÉRIE) qui pensent à toi et proposent des chaussures confortables et adaptées à tes pieds sans sacrifier le style.
Parce qu’après tout, avoir mal aux pieds, ce n’est pas une fatalité.